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BALKIARA LA GRANDE GUERRIERE PHILOSOPHE

Si mes écrits vous dérangent, sachez que vous n'êtes pas obligés de venir les lire.

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Musée Jacquemart-André Rez-de-Chaussée

--> Le 12 Avril 2015

Deux plans du rez-de-chaussée trouvés sur le net :

 

LE SALON DES PEINTURES

L'Antichambre fut dénommée "Salon des peintures" en raison de la qualité élevée des peintures qui la décoraient, pour la plupart des œuvres du XVIIIe siècle français.

C'était le salon d'attente de l'hôtel particulier. Édouard André y regroupa un ensemble de peintures françaises du XVIIIe siècle, qu'il appréciait particulièrement. Ces œuvres sont d'ailleurs toujours présentes dans la pièce, afin de respecter le souhait des époux André.
Dès l'entrée, les visiteurs étaient donc face au goût très sûr de leur hôte et aux joyeux de sa collection : "La Marquise d'Antin" par Nattier, "Les Attributs des Sciences et des Arts" de Chardin, mais aussi le mobilier, de style Régence et Louis XVI.
Pour établir des liens entre les différentes peintures, Édouard André ajouta enfin des œuvres italiennes, telles les deux peintures de Canaletto, et demanda à ses restaurateurs de fixer au plafond une composition circulaire de la même école représentant "La Renommée et la Vérité apparaissant à hercule".

1ère photo : plafond "La Renommée et la Vérité apparaissant à Hercule"
2ème photo : "Buste d'homme" Augustin Pajou (1730-1809) Terre cuite, vers 1760
3ème photo : "Portrait du Marquis de Raincourt" Jean-François de Troy (1679-1752), vers 1740
   

1ère photo : "Jeune garçon jouant avec un chat" 1764 - François-Hubert Drouais (1727-1775)
2ème photo : "Les Attributs des sciences" 1731 - Jean-Baptiste Chardin (1699-1779). D'après ce que l'on peut voir il semble s'agir de l'astronomie
3ème photo : "Fillette aux tourterelles"
- Luigi Pampaloni (1791-1847) sculpteur florentin du XIXème siècle
   

1ère photo : vase asiatique
2ème photo : "Portrait de Mathilde de Canisy, marquise d'Antin" 1738 - Jean-Marc Nattier (1685-1766)
3ème photo : "Le sommeil de Vénus" vers 1738 - François Boucher (1703-1770)
   

1ère photo : "La toilette de Vénus" vers 1738 - François Boucher (1703-1770)
2ème photo : "Les Attributs des arts" 1731 - Jean-Baptiste Chardin (1699-1779)
 

LE GRAND SALON

Le Grand Salon, appelé à l'époque le "salon ovale", en raison de ses lignes courbes si chères au XVIIIe siècle, faisait partie des pièces de réception où les époux André accueillaient leurs invités. Afin de créer un vaste ensemble pour recevoir, la cloison donnant sur le Salon des Peintures a été montée sur vérins hydrauliques pour être
escamotable dans le sous-sol, quant à la cloison correspondant avec le Salon de Musique, elle coulisse sur le côté.
Pour rester dans le style du salon d'attente, Édouard André le décora avec des meubles de style Régence. Il acheta également une partie des boiseries de l'hôtel Samuel Bernard et les fit remonter.Il installa enfin une série de bustes représentatifs des maitres de l’École française des XVIIe et XVIIIe siècles, fidèle en cela à la tradition des galeries d'antique ou d'ancêtres qui se trouvaient dans les châteaux.
 

1ère photo : Buste du Roi Henri IV 1604 (bronze) - Barthélemy Tremblay (1568-1629)
2ème photo : médaillons dans une vitrine (côté gauche)
3ème photo : médaillons dans une vitrine (côté droit)
   

Médaillons d'une seconde vitrine :
   

LE SALON DES TAPISSERIES
Ce salon est l’antichambre précédant leur cabinet de travail. Il offre la particularité d’avoir été adapté aux dimensions des tentures qui le décorent, qu’Édouard André possédaient déjà avant la construction de l'hôtel.
Ces trois tapisseries faisaient partie d’un ensemble dit des "Jeux russiens", tissé à la manufacture de Beauvais d'après les cartons de Jean-Baptiste Le Prince, un élève de Boucher. Elles représentent "La Danse", "Le Musicien" et "La Diseuse de bonne aventure". L’artiste avait fait au milieu du XVIIIe siècle un voyage de cinq ans en Russie. Il en rapporta d'innombrables dessins et ses tableaux "russiens" eurent beaucoup de succès.

1ère photo : Table mécanique, époque Louis XVI par Joseph Canabus - Bois d'acajou sur bâti d'acajou, de chêne et de sapin. Paris, vers 1780
2ème photo :
Coin gauche :
- statue : Étienne-Maurice Falconet (1716-1791). Marbre à la Gloire de Catherine II de Russie.
- Marquises à la Reine et canapé "en ottomane", époque Louis XVI par Pierre Othon. Bois de hêtre peint et doré. Paris, vers1775.
Au centre:
- Tenture des jeux russiens. Tissée d'après les cartons de J.B. Leprince (1734-1781), portant les armes de France et de Navarre. La série complète comprend six pièces. Manufacture royale de Beauvais. XVIIIe siècle.
- Secrétaire cartonnier à deux corps surmonté d'une pendule, époque Louis X. Bois de rose par Joseph, cartel de Charles Leroy, bronzes de Robert Osmond. France, XVIIIe siècle.
A droite : Duchesse brisée, époque Louis XVI par Georges Jacob. Bois de hêtre et noyer dorés. Paris, vers 1780
3ème photo : le plafond,Vénus et Vulcain
   

1ère photo : Nicolas Petit I et Rogen.Caisse de régulateur ransition d'époque Louis XV surmontée d'une pendule . Elle a été restaurée grâce à la générosité d'Axa Nordstern Art.
2ème photo :
au dessus : Tenture des jeux russiens. Tissée d'après les cartons de J.B. Leprince (1734-1781), portant les armes de France et de Navarre. La série complète comprend six pièces. Manufacture royale de Beauvais. XVIIIe siècle.
au milieu : Cheminée en marbre blanc d'époque Louis XVI. Provenance de "La Folie Titon" (hôtel Titon du Tillet), rue de Montreuil à Paris. Paris, XVIIIe siècle.
Devant la cheminée : Écran en tapisserie, d'époque Louis XVI, la cueillette des cerises. Manufacture royale de Beauvais XVIIIe siècle.
A droite :  Suite de fauteuils d'époque Louis XVI par Louis-Charles Carpentier.Bois de hêtre doré à l'huile. Paris vers 1768-1770.
Sur le manteau de la cheminée : Edmé Bouchardon (1698-1762) Buste en terre cuite de Charles-François de la Tour du Pin, 1737
- Claude Michel Clodion (1738-1814)
3ème photo : Étienne-Maurice Falconet (1716-1791). Marbre à la Gloire de Catherine II de Russie.
    

LE CABINET DE TRAVAIL

Dans ce salon intitulé "Cabinet de Travail", les époux André recevaient leurs rendez-vous. Ils y avaient placé les œuvres qu'ils appréciaient le plus, comme le tableau de Fragonard ou celui de Greuze. De plus, le mobilier était exceptionnel, avec le bureau estampillé Dubois d'origine royale, et l'armoire B.V.R.B. qui contenait alors les manuscrits précieux achetés par Nélie Jacquemart dont le Tohfet el Moulouk d'origine
persane et Les Heures du maréchal de Boucicaut, enluminés par les deux plus grands peintres français du XVe siècle. Des raisons de conservation ont justifié que ces œuvres soient entreposées en réserve à l'ouverture du musée.

1ère photo : Buste de la princesse de Polignoac - J.B. Lemoyne (1704-1778) et écran de tapisserie "Apollon jouant de la lyre, encadrement en bois doré et sculpté -
Époque Régence
2ème photo : Secrétaire à abattant à décor de laque attribué à Bernard III Van Riesenburgh (1731-1800) et portrait de femme inconnue en terre cuite, vers 1789 - Philippe Laurent Roland (1746-1816)
3ème photo : bureau plat par Jacques Dubois, laque de Chine sur bâti de chêne et de sapin - Paris, vers 1745. Au fond, une commode à deux tiroirs par Jean Deforge - Paris, vers 1730. Dessus, un buste de femme en marbre - École française du XVIIIe siècle. De chaque côté suite de fauteuils par Jacques Chenevat, bois de noyer redoré - Paris, vers 1760-1765.
   

LE BOUDOIR
Tout d'abord destiné à accueillir l'appartement privé de Nélie Jacquemart, quelques années plus tard, Nélie a souhaité se rapprocher de son époux et se fait installer une nouvelle chambre près de la sienne. Cette pièce devient alors un boudoir et la suivante une bibliothèque. Seule la balustrade fait partie du décor d'origine. Le plafond est de Tiepolo "Allégories de la Justice et de la Paix". Le mobilier est de style Louis XVI en bois doré.

1ère photo : Portrait de la Comtesse Catherine Skavronskaïa "Elizabeth Vigée-Lebrun (1755-1842)
2ème photo : cheminée
3ème photo : Commode en marqueterie de bois de rose et d'amarante à décor d'instruments de lettré, ornée de bronzes dorés et ciselés, dessus de marbre de brèche rose, époque transition- Pierre Roussel (1723-1782)
   

Horloge de forme rectangulaire à mouvement horizontal, Vienne fin du XVIIIe siècle.
Pourquoi IIII et non pas IV ?
1) 
Par souci de praticité pour que IV ne soit pas confondu avec VI
2)
 Pour respecter une certaine symétrie entre les parties droite et gauche et éviter un déséquilibre
3)
 Pour une raison religieuse : le cadran est ainsi partagé en 3 parties représentant le Père, le Fils et le Saint Esprit : l’une ne contenant que des X, la seconde que des V et la dernière que des I.


LA BIBLIOTHÈQUE
Nélie avait rassemblé ici quelques pièces de sa collection d'antiquités égyptiennes. Elles sont présentées dans la vitrine centrale et confèrent à cette salle, traditionnellement vouée à la lecture et à l'étude, un côté "cabinet de curiosités" comme on disait alors. Ces objets rappellent les voyages qu'elle a faits en Égypte, au Caire et à Alexandrie, au tout début de ce siècle, alors qu'elle était devenue veuve.
L'atmosphère qui règne ici convient bien à la contemplation de l'étonnant ensemble de peintures flamandes et hollandaises qui forme un des fleurons de la collection des époux André. Dès 1865, Édouard avait acquis le "Portrait du docteur Tholinx" par Rembrandt. Plus tard s'y est ajoutée la célèbre petite scène des "Pèlerins d'Emmaüs" peinte, elle aussi, par Rembrandt, et située au centre du mur du fond. Autour de cette peinture infiniment précise, des portraits et des paysages réunissent les noms prestigieux Van Dyck, Frans Hals, Philippe de Champaigne, Ruysdael.

Attribué à Pierre Gole (1620-1685) Cabinet dit "de la duchesse de Fontanges".
Vers 1680, bois d’ébène et de palissandre, marqueterie de cuivre et d’étain, 186 x 114 x 60 cm


Quelques porcelaines dans une vitrine (Manufacture Impériale)
 


1ère photo :
Portrait d'Amélia Von Solms 1632 - Rembrandt van Rijn (1606-1669)
2ème photo :
Écran de feu - Manufacture Royale de la Savonnerie
3ème photo : Commode tombeau Louis XIV. Marqueterie bois et métaux vers 1710. Restaurée grâce au mécénat de la galerie Aaron et de Monsieur Hervé Aaron.


SALON DE MUSIQUE
C'est l'autre grande pièce de réception. Il est typique du Second Empire avec ses murs tendus de rouge et ses meubles en bois foncé.
Les peintures qui ornent la pièce ont souvent changé, en fonction de l’accroissement de la collection. Elles nous ramènent au XVIIIe siècle français : une Galerie en ruines d’Hubert Robert, une étonnante Tête de vieillard de Fragonard, des portraits de Perronneau ou encore un Caprice architectural de l’italien Panini. La peinture du plafond est signée par un des peintres décorateurs les plus recherchés de l'époque, Pierre-Victor Galland. Il a représenté un Apollon protecteur des arts. Ainsi, le dieu des Arts et de la Musique préside aux destinées de cette maison.


1ère et 2ème photos : Banquette en bois. Atelier parisien milieu XIXe siècle.
3ème photo :  "Caprice architectural" vers 1745 - Giovanni Paolo Panini (1691-1765)


JARDIN D'HIVER
Il fut inspiré d'une mode anglaise qui s'était répandue dans la haute société parisienne, comme chez la princesse Mathilde ou encore chez Emile Meunier, le "baron chocolat". Sous la haute verrière, très à la mode à l'époque, avaient été installés palmiers, yuccas et fougères. La revue l'Illustration en rend compte en 1876 : "La merveille de ce palais merveilleux était sans conteste le jardin d'hiver [...]. Nos grandes élégantes s'y étaient réfugiées pour éviter la foule. De semblables somptuosités ne sauraient être permises qu'à un souverain ou à un banquier."
En 1893, les époux André le couronnent d'une fresque venue d'Italie, l'Arrivée d'Henri III à la villa Contarini, chef-d’œuvre de Giambattista Tiepolo. Au début du XXe siècle, Nélie Jacquemart y ajouta bas-reliefs et bustes antiques collectés au cours de ses voyages autour de la Méditerranée.


1ère photo : Statue de Victoire sans ailes (marbre) art gréco-romain, période hellénistique et sarcophage avec bas-relief représentant Minerve et Cérès (marbre) art romain, IIIe siècle après JC.
2ème photo : Statue d’Éros (marbre) art grec, IIe siècle après JC et Cippe en forme d'autel (marbre de Carrare, époque d'Auguste) art romain, période impériale.
3ème photo : Statue de femme en pied portant une grappe (marbre) art gréco-romain


L'escalier
La prouesse architecturale de cette maison est son escalier monumental, curieusement rejeté en fin des appartements, alors qu'on l'attendrait traditionnellement au centre de la construction. Conçu par Henri Parent, cet escalier est une construction féerique, d'une légèreté surprenante malgré la densité des matériaux qui le composent : le marbre, la pierre, le fer, le bronze. Il s'élève jusqu'à une corniche arrondie qui en prolonge les courbes. Le jeu des miroirs le reflète sur tous les murs et porte l'illusion à son comble.

Pour parachever le décor de cet escalier d’honneur, les époux Jacquemart-André ont placé cette très grande fresque peinte par Giambattista Tiepolo pour la villa Contarini en Vénétie où ils l'ont découverte et achetée en 1893. Elle représente Henri III revenant de Pologne pour prendre la succession de son frère Charles IX sur le trône de France. Il passe par Venise où il est reçu par le doge Contarini.

Un plafond peint par le même artiste représentant “La Renommée annonçant l'arrivée du roi III” complétait le décor de la villa vénitienne. Ce plafond a été remonté dans la Salle à Manger de l'hôtel, aujourd'hui Salon de thé. Heureux temps où l'on pouvait, la même année, acheter un tel ensemble de Tiepolo auquel s’ajoutaient les deux plafonds du Cabinet de travail et du Boudoir.

 
Buste du Cardinal de Richelieu (Bronze, 1643). Jean Warin (1604-1672)


Fresque de Tiepolo
La réception d'Henri III à la villa Contarini, 1745. Élu roi de Pologne en 1573, le futur Henri III décide de rentrer un an plus tard en France pour succéder à son frère Charles IX qui vient de mourir. En chemin, il séjourne à Venise pendant une douzaine de jours, où il reçoit un accueil grandiose. Au moment de quitter la Vénétie, il accorde une dernière faveur au procureur Federigo Contarini, en s'arrêtant dans sa villa à Mira, sur les rives de la Brenta.
En 145, c'est le souvenir de cette visite qui sert de prétexte au peintre Giambattista Tiepolo pour décorer le vestibule de la villa Contarini. L'artiste vénitien associe à cet évènement illustre la commémoration du mariage de Lucrezia Corner, adossée à la colonne de gauche, avec Vincenzo Pisani, devenu propriétaire de la villa, qui se tient en face d'elle. La fresque offre donc une double lecture, celle de l'évènement contemporain et celle, plus ancienne, de la visite du souverain. La fresque de "la Renommée annonçant la visite du roi Henri III", qui décore aujourd'hui le plafond du restaurant du Musée, venait compléter celle-ci.
Un siècle et demi plus tard, les époux André découvrent l'ensemble qui est alors à vendre et en décident l'acquisition pour leur hôtel parisien. Il faut huit mois de mai 1893 à janvier 1894, juste avant la mort d’Édouard André, pour détacher les fresques, les transporter et les remonter dans la cage de l'escalier d'honneur (qui deviendra l'escalier Tiepolo), et dans le restaurant du Musée.
En 1998, les Assurances Generali acceptent de financer la restauration de la fresque murale qui restitue les qualités premières de la fresque, effet de trompe-l’œil, illusionnisme, ampleur de la mise en scène et délicatesse de la polychromie qui nous permettent d'admirer désormais le plus bel ornement de l'hôtel.


LE FUMOIR
Il a subi plusieurs changements. Auparavant, Édouard André l'avait conçu comme une salle réservée au délassement des hommes, recouverte de cartons imprimés à l'imitation des cuirs de Cordoue. Par la suite, Nélie Jacquemart avait modifié son arrangement. La vitrine octogonale que l'on voit dans le coin gauche se trouve aujourd'hui dans l'autre pavillon, devenu bibliothèque.

1ère photo :

- Paire de personnages-flambeaux en bronze attribuée à Anrea Briosco dit Il Riccio (1470-1532)

- Paire de vases en porcelaine Imari - Japon, début XIXe siècle
- Au-dessus de la cheminée : Portrait de jeune femme - John Hoppner (1758-1810)
2ème et 3ème photos :
dans la vitrine : Lampe de mosquée (verre émaillé, art syro-égyptien, XIVe siècle), Assiette Faïence émaillée (Perse, XVIe siècle), Plat godronné (France, XVIe siècle -atelier de Bernard Palissy (1510-vers 1589)), salière (France, XVIe sièce - Faïence de Saint-Porchaire) et plat godronné (France, XVIe siècle - Atelier de Bernard Palissy (1510-vers 1589))
de chaque côté du meuble : Paire de dragons (terre cuite couverte d'un engobe noir, Chine, XIXe siècle) et Paire de brûle-parfums à décor floral (Émail cloisonné, Chine, XIXe siècle)


LES APPARTEMENTS PRIVES

Chambre de Madame
Photo 1 :
- Lit de milieu de style Louis XVI. Bois sculpté et doré XIXe siècle
- A gauche du lit : Table de chevet ovale attribuée à Jean-Pierre Dusautoy XVIIIe siècle
- A droite du lit : Table de chevet ovale attribuée à Nicolas Petit XVIIIe siècle
Photo 2 :
- à gauche sur la cheminée : Pendule en bronze doré "Les Trois Grâces soutenant une mappemonde". Atelier parisien du XVIIIe siècle
- Paire de paravents à deux feuilles peintes : arabesques, trophées et singeries. Attribuée à Christophe Huet. Feuilles d'or et peintures sur cuir XVIIIe siècle
- Table liseuse avec écritoire. Atelier parisien du XVIIIe siècle
- Tapis damascène à mosaïque. Syrie XVIe siècle
Photo 3 :
- Commode à cinq tiroirs attribuée à Nicolas-Louis-Cyrille Lannuier. Paris vers 1780
- sur la commode : Buste d'homme en terre cuite à patine noire. Jean-Jacques Caffieri (1725-1792)
- Coiffeuse pour homme. Plaquée de bois de musc et d’amarante, dessus de marqueterie de fleurs. Atelier parisien. Époque transition Louis XV - Louis XVI. XVIIIe siècle
- Tapis Lotto. Anatolie, XVIe siècle


Petit salon
Photo 1 :
- Canapé en forme de corbeille, d'époque Louis XV. Bois naturel, sculpté et ciré. Atelier parisien du XVIIIe siècle
- Bureau à cylindre de style Louis XVI. Acajou marqueté. Atelier parisien du XIXe siècle
- Chaise de style Louis XVI. Bois doré. Atelier parisien du XIXe siècle
Photo 2 :
- Fauteuils e forme de bergère, d'époque Louis XV. Bois naturel sculpté et ciré. Atelier parisien du XVIIIe siècle.
- Sur le chevalet : Nélie Jacquemart (1841-1912) "Portrait de jeune fille" Fin du XIXe siècle
- Tapis mamelouk. Le Caire Égypte. Première moitié du XVIe siècle


Antichambre
Photo 1 :
- Tableau : Portrait d’Édouard André, 1872 Nélie jacquemart (1841-1912)
- Commode d'époque Louis XV. Attribuée à Pierre Garnier (1726- 1806). Bois de rose et d'amarante, bronzes ciselés et dorés. Paris vers 1750
Photo 2 :
- à droite derrière la commode : Duchesse brisée d'époque Louis XV. Bois sculpté et doré, XVIIIe siècle
- Bureau de pente d'époque Louis XV. Bois de palissandre, brones ciselés et dorés. XVIIIe siècle
- A droite, portrait de madame André, 1852. Hermann Winterhalter (1808-1891)
Photo 3 :
- Écran de cheminée d'époque Louis XVI. Bois sculpté et doré, tapisserie représentant un chien attaquant un canard, d'après un carton de Jean-Baptiste Oudry (1686-1755)
- Sur le manteau de la cheminée : Pan enseignant à jouer de la flûte à Apollon. Terre cuite, 1745. Guillaume II Coustou (1716-1777)
- Devant la cheminée : Table à ouvrage d'époque Louis XV. Attribuée à Bernard II Van Riesenburgh (1700-1766). Bois de rose, d'amarante et de violette sur bâti de chêne. Paris vers 1750


Chambre de Monsieur
Décorée par Madame après sa mort.




Sources :
- visite sur place
- site du musée Jacquemart-André (aide à la rédaction de l'article)
- dossier pédagogique
- photos du café prises sur le net car impossible d'en prendre en raison du grand nombre de clients

Ecrit par Balkiara, le Mardi 25 Avril 2017, 23:34 dans la rubrique "Journées Culturelles".

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