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BALKIARA LA GRANDE GUERRIERE PHILOSOPHE

Si mes écrits vous dérangent, sachez que vous n'êtes pas obligés de venir les lire.

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Maison de Victor Hugo : la famille Hugo

--> Paris, le 3 Mars 2018

LA FAMILLE HUGO



Victor Hugo, le décorateur (26.2.1802 à Besançon - 22 Mai 1885 à Paris)
Avec l'achat de Hauteville House en 1856, pendant l'exil à Guernesey, Hugo donne libre cours à sa passion de décorateur déjà sensible dans la mise en scène de ses pièces de théâtre. Parallèlement à l'aménagement d'Hauteville House, il crée des meubles et des décors pour les deux maisons de sa maîtresse Juliette Drouet, La Fallue et Hauteville II.
Pour le meubles, Hugo acquiert des coffres anglo-normands ou du mobilier gothique et renaissance qu'il fait démonter puis réassembler et au besoin, compléter, selon son dessin par ses menuisiers.
Entre l'automne 1863 et l'été 1864, il réalise pour la nouvelle maison de Juliette Drouet tout un décor de panneaux gravés et peints où domine l'inspiration chinoise et qui dialogue avec les porcelaines orientales. Ces décors révèlent un Victor Hugo  peintre. Ils ont été réinstallés dans la pièce qui porte le nom de "salon chinois" lors de l'ouverture du musée en 1903, par Paul Meurice et Siegfried Bing, en les dissociant des meubles, aujourd'hui présentés dans la "salle à manger".

Photo 1 : Victor Hugo à 16 ans
Photo 2 : en 1820, par Jean Alaux
Photo 3 : en 1823
Photo 4 : en 1832 par Léon Noël


Victor Hugo, le dessinateur (1802-1885)
Victor Hugo pratique le dessin dès son adolescence. Lors de ses voyages, dans les années 1830, il réalise de nombreux croquis des monuments et des sites pittoresques qu'il admire. Après les séjours sur le Rhin, il reprend ses dessins de châteaux, de villes gothiques et de paysages sur un mode de plus en plus visionnaire. Ils relèvent du domaine de l'intime et restent dans ses cartons, ses manuscrits ou sont offerts à ses proches. Mais en 1850, il entreprend de décorer son appartement avec certains de ses dessins. Durant l'exil, lorsqu'il aménage Hauteville House, il reprend le projet, achevant sa série des Souvenirs dont il décore les cadres de motifs peints.
Pendant l'exil à Jersey d'Août 1852 à Octobre 1855, il se lance dans la pratique toute nouvelle de la photographie et installe un atelier à Marine Terrace, demeure du clan Hugo. L'Atelier de jersey rassemble les frères Hugo, leur ami Auguste Vacquerie et d'autres proscrits qui vont expérimenter ce nouveau medium.
Charles s'initie aux plaques de verre grâce au photographe Edmond Bacot, et réalise des portraits de son père dans des mises en scène inattendues loin de l'image officielle de l'écrivain. Il est également l'auteur de paysages de Jersey, dans lesquels il maîtrise parfaitement le clair-obscur.
Charles qui se consacre ensuite à la littérature, se marie en 1865 à Bruxelles avec Alice Lehaene. Il est le père des deux seuls petits-enfants de Victor Hugo : Georges et Jeanne.


L'art d'être grand-père... et celui d'être petit-fils
Après le décès de leur père, Georges et Jeanne sont confiés à la tutelle de leur grand-père, Victor Hugo. Les deux petits-enfants vivent très heureux et choyés auprès de leur aïeul qui leur fait partager tous les moments de sa vie et des séjours idylliques à Hauteville House... Georges restera attaché à cette maison qu'il aimera peindre. Il publie Mon grand-père en 1902, livre de souvenirs empreint d'admiration qu'il illustre lui-même.

L'exil de Victor Hugo

Victor Hugo accuse Louis-Napoléon de haute trahison, il est recherché par la police. Il se dresse contre ceux qui veulent étrangler la Jeune République. Quant à ses fils, ils furent condamnés à neuf mois de prison ferme. Poursuivi par la police de Louis-Napoléon Bonaparte après le coup d'État du 2 décembre 1851 auquel il s'était publiquement opposé, Hugo s'est enfui, en 1852, avec sa famille à Bruxelles, puis la même année il partit pour l'île de Jersey et enfin, en 1855, à l'île de Guernesey, le 31 Octobre 1856, avec sa femme, sa fille Adèle, Juliette Drouet, quelques amis, et ses deux fils Charles et François-Victor.
Il restera à
Guernesey plus de quinze ans, durant lesquels il se livre dans la solitude à la méditation, se met à pratiquer le spiritisme et surtout il se consacre à son œuvre d'écrivain. Le Second Empire lui offre l'amnistie, il répond : « Quand la liberté rentrera, je rentrerai ». 
C'est seulement en 1870, alors que Napoléon III part à son tour en exil en Angleterre suite à sa défaite face à la Prusse, que Victor Hugo revient en France

Son épouse : Adèle Julie Victoire Marie Hugo (27.9.1803 à Paris - 27.8.1868 à Bruxelles)
Épouse de Victor Hugo, Adèle Foucher fréquente le poète et ses frères dès l'enfance. Après son mariage en 1822, elle met au monde cinq enfants dont le premier fils Léopold, né en 1823, meurt en bas âge. C'est dans l'atelier ouvert rue de Seine en 1819, par son amie et bientôt belle-sœur, Julie Duvidal de Montferrier, qu'elle a fait son apprentissage de dessin. Mariée, Adèle met à profit les leçons de dessin et signe les portraits au crayon de tous ceux qu'elle aime. Celle aussi qui, à partir de ses souvenirs personnels et des matériaux fournis par son mari, écrit Victor Hugo raconté par un témoin de sa vie (1863).
Elle cessera de dessiner en 1843 après la mort de sa première fille Léopoldine, et d'écrire après le départ précipité de la seconde, Adèle, vingt ans plus tard.

Son père : Joseph Léopold Sigisbert Hugo


Ses enfants :

1)
Léopold Hugo (16 juillet 1823–10 octobre 1823)
Il décède à l'âge de 3 mois, d'une grave maladie après avoir été soigné par son grand-père à Blois.

2)
Léopoldine Hugo (28 août 1824 à Paris –4 septembre 1843 à Villequier)
Elle portait le nom de son frère Léopold, le premier enfant de Victor Hugo, mort à 3 mois. Elle était l'enfant chérie de Victor Hugo, qui l'avait surnommée "Didine", avec qui elle aimer passer beaucoup de temps. Elle a grandi entourée d'artistes et penseurs (Théophile Gautier, Lamartine, Balzac...) qui venaient régulièrement dans leur appartement place des Vosges.
A 14 ans, elle tombe amoureuse de Charles Vacquerie, fils d'un armateur du havre. Léopoldine se heurte à son père qui désapprouve cet amour car il trouve Charles insignifiant et trop âgé pour sa fille. Elle l'épouse tout de même en février 1843 et part vivre avec lui en Seine Maritime, à Villequier, dans une maison au bord de la Seine. Elle n'a que 19 ans.
Six mois plus tard, le jeune couple part dans un canot en compagnie de l'oncle de Charles et son fils de 11 ans, Arthur. L'aller se passe sans encombre mais au retour, un vent fait chavirer l'embarcation. Ils tombent tous les 4 dans la Seine et se noient ; Léopoldine ne savait pas nager. Sur la berge, des témoins voient Charles plonger à plusieurs reprises pour tenter de sauver son épouse mais en vain. 
Ce fut une période de deuil et de désespoir pour Victor Hugo qui arrivera trop tard pour assister aux funérailles, ce qui le marquera à vie. Il écrira des poèmes de cette perte, comme "Demain, dès l'aube" :

Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends.
J’irai par la forêt, j’irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
 

Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.



3)
Charles Hugo (4.11.1826 à Paris - 13.3.1871 à Bordeaux)
Fils aîné de Victor Hugo et journaliste engagé, Charles Hugo défend les mêmes valeurs politiques que son père, ce qui lui vaut d'être emprisonné en 1851 suite à un article contre la peine de mort.
Pendant l'exil à Jersey d'Août 1852 à octobre 1855, il se lance dans la pratique toute nouvelle de la photographie et installe un atelier à Marine Terrace, demeure du clan Hugo. L'Atelier de Jersey rassemble les frères Hugo, leur ami Auguste Vacquerie et d'autres proscrits qui vont expérimenter ce nouveau medium. Charles s'initie aux plaques de verre grâce au photographe Edmond Bacot, et réalise des portraits de son père dans des mises en scène inattendues loin de l'image officielle de l'écrivain. Il également l'auteur de paysages de Jersey, dans lesquels il maîtrise parfaitement le clair-obscur.
Charles qui se consacre ensuite à la littérature, se marie en 1865 à Bruxelles avec Alice Lehaene. Il est le père des seuls petits-enfants de Victor Hugo  : Georges I (1867-1868), Georges II (1868-1925) et Jeanne (1869-1941).

Charles meurt d'une apoplexie, en 1871, alors qu'il se rend en fiacre au restaurant Lanta, où l'attend son père. Victor Hugo note dans ses carnets
« À six heures et demie, je suis allé au restaurant Lanta. MM. Bouvier, Mourot et Casse arrivent. Puis Alice, Charles se fait attendre.
- Sept heures du soir. Charles est mort »
— Victor Hugo, Choses vues, 13 mars 1871

4)
François-Victor Hugo (28.10.1828 à Paris - 26.12.1873 à Paris)
Fils de Victor Hugo, portant le prénom de son père, il adopte le prénom de François-Victor lorsqu'il devient journaliste à 20 ans. Enfant, friand des dessins que on père joint à ses lettres, il manifeste un goût prononcé pour cette pratique et, adolescent, s'adonne à la caricature et au dessin satirique en particulier, pendant les deux graves maladies dont il souffrit à 14 et à 19 ans.
A Jersey, durant l'exil, il participe aussi, mais comme daguerréotypiste (daguerréotypie = procédé photographique mis au point par Louis Daguerre (1787-1851). Il produit une image sans négatif sur une surface d'argent pur, polie comme un miroir, exposée directement à la lumière), à l'atelier de photographie créé par son frère Charles et Auguste Vacquerie. Très vite, il entreprend la traduction des Œuvres complètes de William Shakespeare, publiées en 8 volumes, de 1859 à 1866.

5)
Adèle Hugo (28.7.1830 à Paris - 21.4.1915 à Suresnes)
Fille cadette des Hugo, Adèle sot à peine de l'enfance quand elle perd sa sœur Léopoldine. L'exil va la couper de la vie mondaine et musicale qu'elle connaissait à Paris : "Nous avons connu tous les musiciens célèbres de notre temps : Meyerbeer, Rossini, Berlioz, Liszt, Chopin", dit sa mère à Jersey. Elle écrit beaucoup, projette un livre sur la libération des femmes, continue d'étudier la musique et passe des heures au piano sur lequel elle compose des mélodies parfois sur des poèmes de son père.
Mai en Juin 1863, se lançant à la poursuite d'un lieutenant anglais qu'elle aime sans retour, Adèle quitte l'île furtivement pour n'y plus jamais revenir. Après les errances au Canada et à la Barbade, elle est ramenée en France en 1872 pour être internée et finir ses jours à Suresnes dans une maison de santé.

Ses petits-enfants :

A la mort de leur père, ils sont recueillis par leur grand-père, Victor Hugo, qui va être comblé par leur innocence.


Georges Hugo (16.8.1868 à Bruxelles (Belgique) - 5.2.1925 à Paris)
Petit-fils de Victor Hugo, Georges, orphelin de père à trois ans, est élevé par son grand-père, avec sa sœur Jeanne.
En 1890, il s'engage dans la Marine jusqu'en 1893 puis publie ses Souvenirs d'un matelot en 1896. Il épouse Pauline Ménard-Dorian en 1894, mariage dont naîtront Marguerite et Jean (peintre). Divorcé, il se remarie en 1901 avec Dora Dorian dont il aura un troisième enfant, François (orfèvre).
Georges est très tôt tourné vers les arts et se forme auprès d'Ernest Duez (1843-1896). Le dessin et la peinture seront les com
pagnons de sa vie mondaine comme de sa vie de matelot et de soldat.
Il va se marier :
- Pauline Ménard-Dorian et aura 2 enfants : Jean Hugo (1894-1984) artiste peintre et Marguerite Hugo (1896-1984) agricultrice.

- Dora Dorian et aura un enfant : François Victor Hugo (1899-1981) orfèvre.

Jeanne (29.9.1869 à Bruxelles - 30.11.1941 à Paris).
Jeanne va se marier avec :
- Léon Daudet (Fils d'Alphonse Daudet) et aura un enfant : Charles Daudet (1892-1960) bibliothécaire
- Jean-Baptiste Charcot et aura un enfant : Marion Charcot (1900-1927)
- Michel Negroponte
.


Sa maîtresse : Juliette Drouet (10.4.1806 à Fougères - 11.5.1883 à Paris)
Son véritable nom est Julienne Gauvain. Ses parents sont artisans : elle perd sa mère à l'âge de quelques mois et son père à un an et demi. Avec son frère et ses deux sœurs, elle est placée en nourrice puis dans un couvent, puis René-Henry Drouet, un oncle, la recueille et s'installe à Paris. De 1816 à 1821, elle sera de nouveau mise dans un couvent ; lorsqu'elle en sort, Victor Hugo lui demande d'écrire ses souvenirs de ce séjour pour l'aider à son futur roman Les Misérables.
Avec le sculpteur James Pradier, elle a une petite fille, Claire, née en 1826. Ils ne resteront pas longtemps ensemble. En 1828, elle débute une carrière au Théâtre et se fait appeler "Melle Juliette". Elle poursuit sa carrière à Paris (Théâtre du Veudeville, de la Porte Saint-Martin, de l'Odéon...).
Elle rencontre Victor Hugo début 1833. Leur première nuit d'amour, du 16 au 17 Février, sera celle de Marius et Cosette dans Les Misérables.
Elle a 2 ou 3 représentations par jour, des dettes qu'elle n'a pas remboursées... et décide d'arrêter la scène. Victor Hugo s'engage alors à subvenir à ses besoins et à ceux de sa fille Claire. Elle l'admirera tellement qu'elle ne le trahira jamais malgré les nombreuses maîtresses qu'il aura.
Elle se rapprochera davantage de Victor Hugo à la mort d'Adèle Hugo, épouse de Victor.
Sur sa pierre tombale est inscrit :

          Quand je ne serai plus qu'une cendre glacée,

          Quand mes yeux fatigués seront fermés au jour,

          Dis toi, si dans mon cœur, ma mémoire est fixée,

          Le monde a sa pensée. Moi j'avais son amour
.


Les autres membres de la famille
:

Julie Duvidal de Montferrier
(1797-1865)
Belle-sœur de Victor Hugo, dont elle a épousé le frère aîné, Abel, en 1827, Julie Duvidal de Montferrier étudie la peinture avec le baron Gérard à partir de 1813, puis en 1820 et devient l'élève de Gros. Peintre d'histoire et portraitiste, elle expose au Salon de 1819 jusqu'à son mariage. En 1821, elle enseigne le dessin à son amie de jeunesse, Adèle Foucher alors fiancée à Victor Hugo qui lui dédiera une ode "Tu devais être à nous. Plus tard, c'est elle qui donnera sa formation artistique à son fils Léopold.


Léopold Hugo
(1830-1915)
Neveu de Victor Hugo, fils de son frère Abel et de Julie Duvidal de Montferrier, personnalité étrange, Léopold est à la fois scientifique et artiste. Mathématicien, amateur éclairé, il publie de 1866 à 1876, plusieurs ouvrages de géométrie qui vont devenir au il des ans, de plus en plus poétiques et délirants avec l'invention de la théorie Hugodécimale. Une même bizarrerie se lit dans son œuvre plastique comme en témoigne la suite gravée d'autoportraits en double, chargés d'une symbolique obscure. Marqué par la fuite de sa femme avec un amant en 1869 et surtout la mort à vingt ans de sa fille Zoé, en 1876, Léopold se rapproche de son oncle dont il fréquente assidûment la maison d'Eylau à Paris.



Jean Hugo
 (19.11.1894 à Paris - 22.6.1984 au mas de Fourques, à Lunel)
Arrière-petit-fils de Victor Hugo, peintre, décorateur, illustrateur et écrivain, Jean est le premier de la lignée à s'être fait un nom sans que la gloire de l'aïeul ne le paralyse. Il fut un observateur attentif de son temps. Il participe à la vie mondaine du paris d'avant-guerre puis des "Années folles" avec ses amis,max Jacob, jean Cocteau, Pablo Picasso, Erik Satie... et Valentine Gross qu'il épouse en 1920. Il se consacre à la mise en scène (théâtre, cinéma, bals, ballets), à la décoration intérieure et l'illustration.
A partir de 1930, il quitte Paris pour le sud de la France. Il se remarie avec Lauretta Hope-Nicholson en 1947, et fonde une famille de sept enfants. Tout en poursuivant son œuvre de décorateur et d'illustrateur, son expression artistique se décline alors en natures mortes, paysages, personnages et bestiaires qui oscillent entre réel et imaginaire. Il se met à l'écriture et publie ses mémoires. La première rétrospective de son œuvre a eu lieu au Canada en 1973
.


Marie Hugo, Jean-Baptiste Hugo
Arrière-arrière petits-enfants de Victor Hugo, Marie est peintre Jean-Baptiste, photographe.
Pour les Hugo, hauteville House à Guernesey n'est pas seulement la maison d'exil de Victor Hugo ; entre sa mort et celle de son petit-fils Georges qui en fut le principal occupant, elle fut aussi une maison de famille. Jean Hugo qui y vécut durant ses jeunes années, en a transmis le souvenir à ses propres enfants. Ainsi, sorte de décor du roman familial, c'est aujourd'hui la maison qui habite l'imaginaire de Marie et Jean-Baptiste Hugo. Ils ont souhaité, à travers le dessin et la photographie, réhabiter cette maison par leur regard, pour un livre publié parallèlement à l'exposition : Hauteville House Victor Hugo décorateur Jean-Baptiste, Laura et Marie, Hugo aux Éditions paris Musées.
Chacun avec sa sensibilité nous fait entrer dans l'intimité de la création et de l'esprit de Victor Hugo qui aménagea cette maison jusqu'en ses moindres recoins.



Source :
Visite sur place
Maison de Victor Hugo
Victor Hugo et l'exil


.

Ecrit par Balkiara, le Mercredi 7 Mars 2018, 19:11 dans la rubrique "Journées Culturelles".

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Commentaires

dragonia

dragonia

11-03-18 à 11:42

compliqué cet arbre généalogique,heureusement que chacun a son histoire, c'est plus facile à retenir
par contre j'ai été surprise de voir que 2 des descendants actuels de Victor Hugo sont des artistes, bon sang ne saurait mentir !
j'attends les autres articles avec impatience car la maison d'Hugo est très intéressante à visiter



Anonyme

12-10-19 à 12:10

Une erreur: le fils de Jeanne Hugo et de Léon Daudet s'appelle Charles Daudet et non Charles Hugo


Peut être un petit rectificatif: Jean Hugo et Lauretta Hope Nicholson ont eu 7 enfants pas seulement Marie et Jean Baptiste mais aussi Charles, Adèle, Jeanne, Sophie et Léopoldine. 

A part cela, article très intéressant


Re:

Balkiara

Balkiara

13-10-19 à 15:27

Merci beaucoup pour ces informations que je vais utiliser pour modifier mon article.

Pour les 7 enfants de Jean Hugo et Lauretta Hope Nicholson c'est le cas sur les 2 arbres généalogiques ainsi que dans mon texte.
J'ai modifié le nom de Charles Hugo en Charles Daudet mais les arbres généalogiques ont été pris en photo directement dans le musée, c'est bizarre cette erreur de leur part !


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