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BALKIARA LA GRANDE GUERRIERE PHILOSOPHE

Si mes écrits vous dérangent, sachez que vous n'êtes pas obligés de venir les lire.

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QUARTIER MONTSOURIS 14 ème

--> Quelques rues autour du parc

Boulevard Jourdan
Depuis fin 2006 le tramway y circule



Impasse Nansouty

Au numéro 9 pour marquer l'atelier d'un sculpteur et au dessus celui d'un peintre (par Tory fils)



Villa du Parc Montsouris
Il s'agit d'une voie privée fermée par une grille et un digicode. Il y a des maisons d'études et des ateliers, dont celui de Tsuguharu Fujita  (artiste japonais) proche de Matisse, Picasso et bien d'autres. On peut voir des bas-reliefs sur une façade.



Rue du Parc de Montsouris

Au numéro 8
, l’hôtel particulier de Michel Morphy (romancier) édifié vers 1900, dans le goût rococo et orné de motifs de faïences colorées.

 
Du numéro 11 à 13
:
maisons en meulière, brique et bois, édifiées dans le goût régionaliste de la fin du XIXe siècle.





Rue Georges Braque

Autrefois, elle s'appelait "rue du Douanier". C'est en 1927, sous la direction de Zielensky (architecte) qui se réserva le n°8, qu'elle fut lotie.

Au numéro 2 
la Villa Guggenbühl, construite en 1927par André Lurçat (architecte) à la demande de Walter Guggenbühl (peintre zurichois). Il s’agit presque d’une structure cubique, dépouillée et sans effet ornemental. Au début la maison avait des fenêtres disposées irrégulièrement sur la façade déterminant un jeu de verticales et d’horizontales, de surfaces nues et d’ouvertures. Mais au fil du temps les nombreuses transformations apportées par les propriétaires successifs lui a un peu fait perdre son caractère sculptural.

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Au numéro 3:


Numéro 6 : cette maison réalisée par Auguste Perret pour le peintre Georges Braque, qui y demeura de 1927 à sa mort en 1963. Elle se cache derrière la verdure :


Au numéro 14 : maison construite  en 1929


Square de Montsouris
"Cette petite voie privée ouverte à la circulation publique (60 numéros) a été créée dans années 1920-30 sous forme de lotissement. 28 pavillons sont des "HBM" (habitations à bon marché - à l'époque - construites en faveur de personnes à revenus modestes), qui devaient obligatoirement être édifiées en briques rouges ou ocre. Les autres (dont le numéro 40 ) ont été bâties à l'initiative de particuliers, et selon la fantaisie de chacun. Divers styles (atelier d'artiste, construction classique, moderne ou exotique), et éléments d'architecture (façade en pierres, en briques ou en crépi, colonnes, toits et terrasses) sont représentés, et donnent une grande variété d'aspect à la rue..."
(source : document accroché devant la maison numéro 40)


Du numéro 4 au numéro 27 ce sont des villas Bonnier construitesà partir de 1923 par Jacques Bonnier (architecte). Elles sont au nombre de 62, sauf une dizaine pour lesquelles les propriétaires ont fait appel à d'autres architectes. Il y a de très jolis motifs sur les façades de certaines maisons.

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Les 2 photos suivantes sont la maison au numéro 4 :




Au numéro 28
(les 2 photos suivantes) : un cadran solaire peint sur le haut de la façade en 1900


Au numéro 40 : "cette maison est l’œuvre de l'architecte Gilles Buisson et date de 1923. La maison n'a guère été modifiées depuis l'origine, en dehors de l'installation d'une rampe (entrée du rez-de-chaussée surélevé) et d'un balcon en fer forgé qui ont remplacé des éléments en bois.La maison n'a ni sortie ni jardin sur l'arrière.
Le style du bâtiment est inspiré de l'apparence des anciennes maisons à colombages telles que l'on en trouve dans le Marais ou dans diverses villes de province (Rennes, Strasbourg...). L'architecte ne s'est cependant pas interdit un certain éclectisme et des emprunts à des styles plus modernes. L'on peut remarquer les vitraux qui ferment la grande fenêtre du rez-de-chaussée surélevé.
Cette maison a connu 3 propriétaires depuis son édification : l'architecte, Gilles Buisson lui-même, Madame Marceron et Madame Bouscau sa fille, épouse du sculpteur Claude Bouscau (qui a vécu en cet endroit des années 1940 jusqu'à sa mort en 1985)."
(source : texte recopié sur le document accroché devant la maison)





Avenue Reille

Le réservoir de Montsouris appelé également réservoir de la Vanne
C'est l'un des 5 principaux réservoirs d'eau de Paris, achevé en 1875, qui alimente toute la partie sud de Paris. Il est l’œuvre de l'ingénieur Eugène Belgrand. Il y a un article très complet, et surtout très intéressant, sur le site de la ville de Paris : Réservoir d'eau potable de Montsouris.




Numéro 43 :
 


(Sources : Mairie de Paris,
Paris Balade, le Cercle du Genau) 



 

Ecrit par Balkiara, le Mardi 23 Avril 2013, 19:06 dans la rubrique "Journées Culturelles".

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