La Faille
Film avec Anthony Hopkins et Ryan Gosling
Résumé :
Un mari trompé conçoit le crime parfait envers son épouse infidèle. Mais cette femme n'est pas morte et son amant n'est autre que l'inspecteur qui mène l'enquête sur les aveux du mari. Après avoir avoué la tentative de meurtre sur son épouse, le cynique Ted Crawford se retrouve opposé à l'ambitieux et jeune procureur adjoint Willy Beachum. Dans un redoutable jeu de manipulation, l'affaire va tourner à la confrontation de deux hommes qui ont chacun besoin de la défaite de l'autre pour servir leur plan...
Ma vision du film :
Il est tout simplement génial !!! L'un est persuadé d'avoir commis le crime parfait et l'autre n'accepte pas l'échec. Tout n'est que manipulation et le centre de cette histoire est tout simplement que l'arme du crime n'a pas été retrouvée ; la maison a été fouillée de fond en comble à plusieurs reprises sans succès !!!
Je suis contente car j'ai deviné assez rapidement le subterfuge utilisé par l'assassin. Que voulez-vous je suis une fervente lectrice d'histoire de profilers etc...
Restons sérieuse : franchement, allez voir ce film et vous vous tracasserez les méninges !!!
Quelques photos :
Ecrit par Balkiara, le Mardi 19 Juin 2007, 16:00 dans la rubrique "Cinématographie".
Commentaires
ou l'art de se faire des noeuds au cerveau !
dragonia
19-06-07 à 20:15
c'est vrai que j'ai adoré le duel des deux personnages principaux : perso j'ai trouvé qu'Anthony Hopkins est encore plus tordu là-dedans que dans le Silence des Agneaux, c'est pas rien hein ^_____^
et pendant tout le film, on cherche à trouver où est planquée l'arme du crime : ben même pour les amateurs d'Agatha Christie comme moi ça n'a pas été fastoche ! de quoi faire des noeuds avec ses neurones lol
par contre ce que j'ai bien aimé c'est que notre jeune procureur aux dents apparemment longues préfère rester au Ministère Public et être payé des cacahouètes plutôt que d'intégrer un Cabinet Privé où il aurait gagné plus d'argent mais aurait dû un petit peu "vendre son âme" ou tout au moins faire des concessions à sa conception de la morale.
en plus on voit son évolution : lui qui ne pensait qu'à lui et à son statut social au début du film pense surtout et de plus en plus aux autres à la fin du film : ça c'est le genre de personnage que j'aime, capable d'évoluer en bien... en espérant qu'il y en ait d'autres dans la réalité, pas uniquement dans les films !
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